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chapitre 1 petite barque

 

Petite barque

 

Tous les océans du monde sont devenus inhospitaliers. Vraiment très inhospitaliers.

La mer a toujours été dangereuse pour les hommes. Désormais l’eau était la mort elle-même.

Lorsque les hommes anciens avaient déclenché l’Apocalypse tout l’environnement avait été empoisonné par les radiations de la Guerre Ultime. Les océans avaient eu leurs comptes, leurs habitants aussi et on aurait dit qu’ils cherchaient à se venger des hommes.

Les animaux avaient muté, étaient devenus plus puissants, plus dangereux, plus agressifs, ils c’étaient adaptés vite !

Sans chasseurs, sans pèches ils étaient nombreux et téméraires. Les humains des cotes avaient appris à les craindre à nouveau. Les peuples de pécheurs étaient prudents, respectueux, c’était dans l’ordre des choses.

De très nombreuses années se sont écoulées et le peuple noir des cotes ensoleillées vivait bien à nouveau. Presque en harmonie avec une nature que les radiations des hommes, loin d’avoir détruite, avait rendu forte et cruelle comme aux origines.

Les hommes de la tribu sans peur qui vivait le long de l’océan centrale péchaient à nouveau en haute mer. Leurs barques chatoyantes, de bois, peinte de couleurs vivent n’étaient pas renversé par les grands Orquas et les requins géants. Les dieux leurs avaient accordé de bonnes relations avec les prédateurs les plus redoutables. Leurs filets étaient toujours pleins et leur peuple prospérait, les enfants étaient beaux et en bonnes santé, les femmes belles et fertiles.

Ils avaient bien meilleures fortunes que d’autres qui essayaient eux aussi de survivre sur ces cotes sauvages.

Les légendes racontaient que de autres côtés de l’océan centrale il y avait d’autres terre ou vivaient des hommes à la peau blanche et d’autres qui leurs ressemblait et devait lutter pour être traité comme des êtres humains à part entière.

Peu y croyais réellement. D’autres légendes les occupées plus précisément celle des « fond rugissant ».

Parfois l’océan se mettait à gronder d’une soude colères. Comme si une grande guerre avait lieux tous au fond de lui. Les eaux se mettaient à briller parfois, à jaillir, bouillir, à frémir et gare au pécheur qui se trouvaient là ! Sa barque et lui étaient aspirés au fond et on ne les revoyait plus ! Cela était bien plus préoccupant car cela se passait prés de leurs côtes. Personne n’allait de l’autre côté de l’océan.

Il faisait très beau ce jour-là. Dava poussa sa barque a l’eau après avoir fait des offrandes aux orquas. Les signes avaient été bon et il n’y avait pas lieu de s’inquiéter.

Le jeune garçon était le pécheur le plus jeune du village. Il n’avait pas eu le choix d’être débrouillard dans ce domaine car son père avait disparu dans les fonds rugissants. C’était il y a longtemps. Désormais sa vie était heureuse, il allait pécher pour sa mère et sa sœur et comme il était efficace elles ne manquaient de rien !

Sa petite sœur l’avait accompagné jusqu’à la plage et lui fit signe quand il s’éloigna avant de repartir en courant retrouver sa mère pour aller récolter les produits du jardin.  La terre comme l’océan leurs était favorables alors pourquoi ne pas croire en sa bonne étoile.

Les vagues le bercé presque. Ces filets et ses lignes étaient installés et il ne lui restait plus qu’à rêvasser. Le sommeil le rattrapa et dans ses songes les dieux des eaux lui était apparu dans toutes leur splendeur et leurs redoutable puissance. Ils lui avaient dit qu’il était imprudent de s’endormir dans un bateau ! puis ils c’étaient mis à rugir ! Alors il c’était réveillé !


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