Il était une fois,
le Cataclysme, l’Armageddon
Un monde qui ressemble beaucoup au notre. C’était il y a bien longtemps… ou alors ce sera dans longtemps… peut être même est ce maintenant, qui sait ?
C’est un monde plein d’humains très sur de leurs idées foireuses, dont certains ne pense qu’a dominer le monde pour des raisons plus ou moins valables. Enfin aucune raison n’est valable pour éliminer plus de la moitié de la population.
Cela dit c’est malheureusement ainsi que naquit le monde dont l’histoire est ici comptée.
Dans ses temps terriblement troublés, ou tous voulaient se différencier les uns des autres, ou l’individualisme était roi, quelqu’un de fou, avait poursuivit des expériences douteuses dans le but de créer une « race » humaine bien uniforme pour mettre fin à tous ce… bordel.
Cela dit ce n’est guère mieux que des guerres de religions, de territoires ou autre stupides raisons.
Au cours de ses expériences cette personne réveilla quelque chose de bien plus puissant qu’elle. Et elle se garda bien d’en parler.
Elle noyauté toutes les grandes organisations mondiales, manœuvra habillement, commença sa grande œuvre de création raciale pendant que le reste de l’humanité se taper joyeusement dessus à propos de n’importe quoi.
Peu à peu elle prit de plus en plus de pouvoir. Toujours en cachant ce que ses essais avaient réveillé. Quelques choses de très puissant. Et pas vraiment contrôlable. Quelque chose que les humains se vantaient de maitriser, sans rien maitrisé vraiment. Et elle ne pouvait pas contrôler grand-chose elle aussi. Elle se vengeais en contrôlant les humains. C’était bien plus simple.
Vint le jours ou l’humanité se suicida en se lançant dans une sorte de feu d’artifice mortifère. Cela se calma vite vu la dose de destruction engendrai mais c’était trop tard.
Elle en profité pour définitivement prendre le pouvoir. Et trié les humains qui restaient, aux abois, pour créer sa cité parfaite et ses habitants parfaits. Tous bien accordés, bien fabriqué, et obéissant. Tout heureux d’avoir un refuge face a cette terre qui, rendu aigri de s’être fais agressée, était devenu parfaitement inhospitalière !
Elle laissa mourir la moitié de l’humanité, et se désintéressa du sort des quelques-uns qui avaient survécu à tout ça.
Les radiations les feraient disparaitre la laissant tranquille pour renier sur son joyau blanc, brillant et paisible, peuplé de gens loyaux et beaux. Bien mélangé, tellement, que tous étaient bien semblables, bien accordés, bien obéissant.
« En combien de temps tous cela ? longtemps… des jours, des mois, des années, des siècles… mais elle ne craignait pas la mort. Elle était immortelle.
C’était ce qu’elle croyait du moins.
Certains la nommée « Méduse ».
Et elle côtoyé dans ce monde irradié l’être vivant qu’elle avait malencontreusement réveillé : l’atome.
L’atome
Le noir, le blanc, le gris… en évolution constante.
Réveillé dans les ruines d’une centrale pré-cataclysme. Qui est parti pourrir tranquillement certaine partie du monde.
Il avait tenté de rentrer en contact avec l’homme. Il avait réussi une fois. Une fois seulement. Sinon les humains qui le côtoyé de trop prés était condamné à mourir.
Quand l’atome se fut complétement éveillé, au beau milieu du cataclysme, il voulut reprendre tranquillement sa place sur terre. Tout sauvage et libre sans le control de l’homme et des machines. Bien sur il tuait… sans le faire exprès. Mais la terre l’accueilli. Elle savait s’adapter.
L’atome sauvage était heureux. Dangereux mais naturel.
Au sein de Babel méduse avait voulu un atome tout blanc et aussi bien discipliné que ses humains. Il était tous blanc et tout contrôlé. Il servait la cité pour lui fourni l’énergie et la protection contre se frère sauvage.
Et méduse s’en servait pour continuer ses expériences. C’étaient bien les humains parfaits… mais ils ne le seraient que lorsqu’ils reprendraient le contrôle du monde et pour cela il fallait qu’il résiste à l’atome. Il lui fallait crée un humain parfait qui contrôlerai la puissance de l’atome sans l’aide des machines. Un atome éveillé et bienveillant. Difficile à imaginer car un atome éveillé semblait forcément être dangereux.
La cité c’était même dotée d’une armée d’androïde mu par un cœur atomique. On ne sait jamais… si a l’extérieure il y avait eu une menace.
Cela aurait été étonnant car la méduse c’était amusé a crée des monstres, qu’elle relâché sur la terre pour mesurer les effets des radiations sur eux.
La cité c’était débarrassé de son inutile armée de la même manière que de ses monstres.
Ce fut sans doute une première erreurs.
Car cela donna naissance a l’atome gris. Ni sauvage, ni apprivoisé. Mais assez libre et éveillé pour savourer sa vie sur la terre.
Les humains
Ils ont survécu. Certains, pas beaucoup.
Ils ne se sont pas vraiment rassemblés. Ils ont continué leurs tranquille individualisme.
Ils ont fait tribu, leurs modes de survie tous bien différents, ils ont continué à vivre.
Durement, âprement. Mais Babel avait tort en pensant être le seul refuge des humains.
Il y avait un dans le monde irradié des miracles nés du croisement des routes de la nature et de l’atome sauvage. L’un d’entre est nommé « Sargante ». C’est un grand arbre rendu géant par les mutations. Ses racines plonges dans l’océan. A ses branches des iles flottantes sont arrimés comme des bijoux verdoyant. Ses feuilles géantes de plusieurs centaines de mètre carrés sont dorés et renvoie la lumiére du soleil, et protège ses nombreux habitant de la chaleur et de la pluie. Car ils abritent à lui tout seul les trois quarts des survivants.
A ce que l’on croyait du moins…
C’est ce dont les fières Louppa étaient sur. Ces diplomates … guerrières parfois…souvent… entretenaient les relations entre le peuple de l’arbre et les autres tribus de survivants. Tout en gardant un œil méfiant sur la terrible cité blanche qui s’amusait à leurs lâché sporadiquement des monstres dessus !
Jusqu’au jours ou la cité relâcha involontairement quelqu’un. Un Humain. Avec un grand H. celui qu’elle aurait du gardé en son sein. Son Homme Parfait.
Mais l’ironie du sort voulu que celui-ci se retrouve éjecté de la cité avec des rebuts de la société. Quand on n’est pas parfait, on dégage et de préférence les pieds en avant. Pas cette fois ci.
L’extérieure de Babel compta quatre habitants de plus. Heureux, ou pas, de se retrouver là.
Tous Ses gens se retrouvèrent mêlaient aux grands troubles de l’histoire de la lutte entre la cité blanche et le grand arbre. Eux… et des créatures bizarres, des restants de l’armée androïde.
Bien sur il y eu une lutte finale sanglante et terrible après bien des péripéties.
Cela est compté par quelqu’un d’autre, en d’autre temps, en d’autres lieux.
Sargante et les Louppa pense être sortie vainqueur de cette bataille. Mais Babel survie.
Babel et quelques autres choses qu’elle a enfantés.
Et l’histoire que je vais vous compter commence là.
Dans ses temps ou la cité blanche est moins puissante qu’elle ne l’espéré, ou la méduse est tombée, ou ceux de Sargante se rendent compte que le monde est finalement encore plus peuplé que ce qu’ils avaient pensé au départ et ou l’atome qui domine le monde commence à s’approcher des vivants sans forcément les tuer.
Car si la terre est plus peuplée que ce que l’on pensait…
Quid des mers et des océans ?
Commentaires
Enregistrer un commentaire