Accéder au contenu principal

Friedrich Guggenberger

 

Deuxième de ces messiers.
Le personnages est inspiré, et le nom volé, au premiers capitaine de u-boot dont j'ai découvert l'histoire au détour d'un documentaire sur national géographique channel. 

Ce film raconté la traque de l'épave de son navire le U-513 avec lequel il avait traversé l'atlantique . Le capitaine Friedrich Guggenberger avait survécu au naufrage d'ailleurs. 


Bref , en souvenir de ce premier aperçu j'ai pris le nom pour l'un des personnages de mon histoire.
C'était aussi la première fois que je voyais des images des U-boot. Craquage immédiat.
Ces engins de guerre avait une ligne très particulière qui m'a taper dans l’œil. Pas de jaloux j'ai aussi appris deux trois truc sur la classe Gato américaine qui me plait beaucoup aussi.
(je garde l'envie de trouver une jolie maquette de ceux ci.)


Donc le "petit merdeux" comme certain l'appel de mon histoire. Un peu hautain mais vu ce qu'il prend dans la poire des le début... çà va vite le calmer! 🤣

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

cartographie

 Je m'excuse pour la qualité. Mais je me suis dit que cela pouvais être utile suite a cette introduction. Voila de quoi situé dans l'espace les zones d'influences des différentes forces en présences. Bien sur il n'est pas encore question ici des océans. Cette carte représente ce qu'il en ai lors du récit qui se centre sur les êtres vivants sur les terres.  Ces zones n'ont pas beaucoup bougés finalement a la fin de ce cycle. Par contre l'influence de Babel est remise en cause. du moins la peur qu'elle a pu engendré.  Mais les terres qui l’entoure ne sont pas occupées par les gens de Sargante. Trop irradiées.       (ps : oui il y a des fautes d’orthographe de partout. j'essaye de faire attention mais je suis nulle. alors si vous en voyez relevé les et signalez les moi. si cela vous écorche trop les yeux je vous présente mes excuses et je ne vous en voudrais pas de ne pas lire. par contre... pour avoir déjà eu le problème... on m'a déjà fais des réf

chapitre 1 petite barque

  Petite barque   Tous les océans du monde sont devenus inhospitaliers. Vraiment très inhospitaliers. La mer a toujours été dangereuse pour les hommes. Désormais l’eau était la mort elle-même. Lorsque les hommes anciens avaient déclenché l’Apocalypse tout l’environnement avait été empoisonné par les radiations de la Guerre Ultime. Les océans avaient eu leurs comptes, leurs habitants aussi et on aurait dit qu’ils cherchaient à se venger des hommes. Les animaux avaient muté, étaient devenus plus puissants, plus dangereux, plus agressifs, ils c’étaient adaptés vite ! Sans chasseurs, sans pèches ils étaient nombreux et téméraires. Les humains des cotes avaient appris à les craindre à nouveau. Les peuples de pécheurs étaient prudents, respectueux, c’était dans l’ordre des choses. De très nombreuses années se sont écoulées et le peuple noir des cotes ensoleillées vivait bien à nouveau. Presque en harmonie avec une nature que les radiations des hommes, loin d’avoir détruite, a

Un sorcier blanc, un enfant noir et un Orqua

  Passé le premier moment de surprise le commandeur s’affala sur la planche. Il venait de se rappeler qu’il n’était pas en bonne état.   Voir même dans un état épouvantable. Il avait puisé dans ses dernières réserves d’énergies pour s’extraire du sous-marin en perdition. Les gars de l’Union ne l’avaient pas loupé. Il n’allait pas tarder à s’évanouir et ce n’était pas une très bonne nouvelle quand on se trouvait au beau milieu de l’océan accroché à une petite planche colorée ! Dava s’aperçut du malaise de son compagnon d’infortune et tenta de le secouer vivement ! A part faire grogner lamentablement le blessé cela n’eut pas beaucoup d’effet. Heureusement c’était un garçon costaud : il se débrouilla pour stabiliser le commandeur sur la planche et il entreprit de pousser à la nage leurs radeau de fortune dans la direction du rivage. Il savait l’idée folle mais il n’en avait pas vraiment d’autre. Seul il aurait sans doute pu y parvenir mais avec un homme inconscient qu’il fallait mai