une histoire sous l'eau

  Deuxième de ces messiers. Le personnages est inspiré, et le nom volé, au premiers capitaine de u-boot dont j'ai découvert l'histoire au détour d'un documentaire sur national géographique channel.  Ce film raconté la traque de l'épave de son navire le U-513 avec lequel il avait traversé l'atlantique . Le capitaine Friedrich Guggenberger avait survécu au naufrage d'ailleurs.  Bref , en souvenir de ce premier aperçu j'ai pris le nom pour l'un des personnages de mon histoire. C'était aussi la première fois que je voyais des images des U-boot. Craquage immédiat. Ces engins de guerre avait une ligne très particulière qui m'a taper dans l’œil. Pas de jaloux j'ai aussi appris deux trois truc sur la classe Gato américaine qui me plait beaucoup aussi. (je garde l'envie de trouver une jolie maquette de ceux ci.) Donc le "petit merdeux" comme certain l'appel de mon histoire. Un peu hautain mais vu ce qu'il prend dans la

Je pose ce petit dessin car je viens de poster un chapitre dans lequel apparait le nom de l'un des personnages principaux. Vous devinerez donc qu'il s'agit de celui qui est sur cette image. Et cela peut être potentiellement polémique. Je n'avais jusqu'ici jamais nommés mes capitaines "en publique" sur Instagram a cause de cela. J'ai donc préféré posé un explication la bas et je vais faire de même ici.   Certains de mes personnages portent des noms de personnages historique. Simplement parce que la consonance me plait et que ça colle avec ce que je veux raconter. Le problème c'est que ... ben c'est pas trop politiquement correcte. Je le comprend. Et je l'assume. Je suis passionné par les sous-marins, et forcement leurs histoire est une histoire de guerre. (mon histoire ne ce passe pas dans un monde très cool. ils sont adaptés a ça.) Et ceux qui se sont retrouvé aux commandes des tous premiers réellement efficaces n'étaient pas du bon

  « Her Kapitan ! » « Jawol ? » « Les russes ont coulés le Star Horse ! il n’en reste rien sur nos radars ! » « Ha… bon et bien allons jeter un œil tout de même. Mais déjà que les chances de le retrouver vivant était minces… » Le lieutenant déglutit et serra les poings. Il eut un garde à vous un peu étriqué et s’éloigna pour donner les ordres de manœuvres. Le Kapitan Gunther Prien haussa les épaules. Ils étaient des loups... si cet imbécile de lieutenant ne l’acceptait pas qu’il aille au diable ! Le commandeur était mort ? Vive le commandeur ! Et surtout vive lui… La meute avait besoin d’un chef, d’un mâle alpha et si ce n’était pas l’un se serait l’autre. C’était comme ça. Le jeune commandeur n’aurait pas eu plus de compassion pour lui. Mais ce jeune officier c’était montré si dangereux, si orgueilleux. Cela lui faisait plaisir quelque part qu’il y soit resté, et que le commandement lui revienne à lui, Prien, le loup le plus acharné, le plus féroces et le plus pugnace,

  La barque de Dava fut littéralement projetée en l’air aussi facilement qu’un fétu de paille à plusieurs mettre de haut. Le jeune garçon ne pouvait imaginer un réveil plus terrifiant ! Mais il était de ceux qui se reprennent vite ! Il heurta l’eau et en un coup de rein il retrouva la surface pour apercevoir son bateau, retourné, la quille en l’air, qui sombrait et l’océan plein de remous, de jaillissement et de débris ! il y avait des grondements sous-marins, des lueurs malsaines et des explosions…Dava était pris dans les légendes marines qu’on lui racontait quand il était tout petit ! Que faire ? il s’agrippa à une planche de sa barque et essaya de nager le plus loin possible de l’agitation des mers qui d’ailleurs se calmé progressivement ! Dans un silence soudain et étrange tout se termina. De la grande agitation précédente il ne restait que quelques débris flottants et quelques bulles remontant des profondeurs jusqu’au moment où non loin de lui les eaux laissent apparaitre

  A fond de cale   A fond de cale il faisait chaud, le vieux moteur peiné à fonctionner. Se retrouver piégé là c’était vraiment une honte ! Ça sentait l’huile, le cramé et le fer rouillé. Ça malheureusement c’était sans doute l’odeur des chaines qui l’entravait. Et il lui avait laissé son manteau… excellente idée, merci bien. Il avait dû prendre un sacré coup sur la tête vu le rideau opaque et sale qui embrouillait sa vision. En même temps il n’y avait rien à voir. Sérieusement c’était une honte de c’être laissé avoir ainsi par ses mauvais, ces marins d’eau douce. Il était beau le défenseur de la vielle Europe, le futur alpha de la meute ! Il essaya de se redresser mais les chaines étaient lourdes, a priori il était blessé et l’anneau à son cou se resserré à chaque mouvement. Et comme il ne comptait pas mourir là… autant se tenir tranquille, reprendre quelques forces et réfléchir posément. Même si ce n’était guère dans son habitude. Le prisonnier était un homme de taille